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Bruno Irles évoque des « conditions anesthésiantes » au stade Louis-II

Bruno Irles va retrouver l’AS Monaco, trois mois après l’avoir affrontée en Coupe de France avec Quevilly-Rouen. Dans la lutte pour le maintien, tous les matchs seront importants pour Troyes : « *On doit être capable d’aller chercher des points, même chez des équipes comme l’AS Monaco, qui sont évidemment supérieures sur le papier. Le fait que le club en face ait un plus gros budget ou de plus gros moyens, de meilleurs individualités, ne m’a jamais fait peur.* »

Fidèle à ses principes, Irles ne se présentera pas à Monaco en victime : « *On n’a jamais abordé en match en visant le nul ou pour limiter la casse, ça ne fait pas partie de mon vocabulaire. On ira là-bas et on jouera crânement notre chance. Peut-être qu’on en prendra quatre comme à Rennes mais on ira avec un état d’esprit conquérant.* »

Mais le club de la Principauté manque de régularité, selon lui, et l’ESTAC, invaincue depuis cinq rencontres de championnat, peut espérer un résultat : « *Monaco a un potentiel offensif énorme mais inconstant. Ils sont capables d’en mettre trois au PSG et ils peuvent aussi passer au travers comme contre Reims. Il faut s’attendre au très bon Monaco si on veut espérer quelque chose.* »

Cette rencontre marquera les retrouvailles de Bruno Irles avec le stade Louis-II, une enceinte où il est facile de perdre son influx : « *Ce sont des conditions que je connais très bien. On peut s’endormir quand on est l’AS Monaco mais on peut aussi s’endormir quand on est adversaire de l’ASM et voir un stade calme. Ce sont des conditions anesthésiantes qu’on doit appréhender et dominer.* »

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