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Bernardo Silva : « Le titre avec Monaco, un des souvenirs les plus forts de ma carrière »

En ce mois de mai, Bernardo Silva fait la une de France Football. Le milieu de terrain portugais, champion de France avec l’AS Monaco en 2017, s’est remémoré ces instants pour le mensuel : « Le titre avec Monaco en 2017 est l’un des souvenirs les plus forts de ma carrière. C’était fou. Au début, on n’y croyait pas. En janvier, on était deuxièmes derrière le PSG. Nice était là aussi. On se disait : « Putain, c’est super, on va lutter pour la Ligue des champions. » Ensuite, on est passés premiers et on se disait : « On peut le faire ? Non, quand même pas. Le PSG, c’est costaud. » Après, c’était : « Mais putain, on est toujours premiers. On va vraiment le faire ! » Et on a gagné. C’était magnifique. J’ai beaucoup de bons souvenirs de mon passage en Ligue 1. »

Inconnu du grand public à son arrivée en 2014, l’international portugais a confié que Monaco pouvait être une belle opportunité pour lancer sa carrière, même si partir de Benfica, où il ne jouait pas, a été un crève-cœur : « Monaco me voulait. Le club allait jouer la Ligue des champions, j’avais l’opportunité de rejoindre une équipe avec Ricardo Carvalho, (Joao) Moutinho, un entraîneur portugais (Jardim), un directeur sportif portugais (Luis Campos), des joueurs comme (Jérémy) Toulalan, (Yannick) Ferreira Carrasco, (Anthony) Martial, (Geoffrey) Kondogbia, Fabinho. Je savais que ce serait une belle opportunité. Mais quitter Benfica a été la chose la plus difficile de ma carrière. »

Si l’arrivée de Bernardo Silva avait soulevé de nombreuses questions du côté des supporters, l’actuel joueur de Manchester City avait rapidement fait l’unanimité. Pourtant, il reconnait avoir eu du mal à s’adapter à un championnat de France relevé et plus costaud : « Je trouve d’ailleurs que c’était plus difficile de jouer en France qu’en Angleterre. C’est plus physique. Peut-être aussi parce qu’on a toujours la possession avec City. On garde la balle, on domine. Mais à Monaco, on n’avait pas ça. T’avais plus de matches serrés, plus physiques. C’était même difficile pour moi au début. Il a fallu m’habituer. »

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