La Direction de l’arbitrage justifie le pénalty contre Brest

Comme c’est devenu une habitude cette saison, la Direction technique de l’arbitrage revient sur plusieurs situations litigieuses qui ont eu lieu durant la dernière journée de championnat, ici la 28e. L’AS Monaco s’est inclinée contre Brest (1-2) mais n’était pas loin de ramener un point de son déplacement en terres finistériennes, grâce notamment à un pénalty transformé par Denis Zakaria et provoqué à la suite d’un contact entre le bras de Kenny Lala, alors engagé dans un duel aérien avec Breel Embolo sur corner, et le ballon.

Une faute qui a d’abord échappé à l’arbitre central du match, Thomas Léonard, qui avait indiqué un corner à suivre. Interpellé par son assistant à la vidéo, Alexandre Castro, l’homme en noir a finalement visionné des images attestant d’une faute manifeste de la part du latéral droit brestois avant d’accorder un coup de pied de réparation en faveur de l’ASM. Une décision qui a forcément déplu aux Brestois, et notamment de son entraîneur Éric Roy, jugeant « dure » la décision.

« Au regard de la loi 12, le geste du défenseur est clairement sanctionnable, a justifié la DTA. Le mouvement volontaire du bras augmente la surface couverte par son corps dans une position imprudente, qui ne peut être considérée comme un geste de protection. L’assistance vidéo à l’arbitrage a justement permis de corriger l’absence de pénalty. Aucune sanction disciplinaire n’était attendue ici. »

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